Merci Bonial. Merci de nous confirmer ce que nous pensions des publicités sur Smartphone.
En effet, je remarque encore une fois que certains investissements consentis par les entreprises de distribution ne sont pas toujours performants. Alors certes, quelques uns pourront se rejouir de voir leur trafic progresser grâce à leurs bannières publicitaires. Seulement, il faut aller plus loin.
Il faut par exemple analyser le temps que l’internaute est resté sur la page ! Ce n’est pas mon métier mais je suis bien obligé moi aussi d’observer l’attitude des lecteurs sur projecteur retail et square 90. Ce sont, évidemment, des sites sans pub, sans bannières !
Il faut rechercher la qualité et non la quantité.
Le sondage OpinionWay pour Bonial nous qualifie l’effet des bannières publicitaires chez les consommateurs. Pour lire l’enquête entière, cliquez ici. (Vous retrouverez l’échantillon (+1000 de personnes) et les conditions du déroulement du sondage.)
Ce qu’il faut en retenir en quelques chiffres :
1- 52% des français possèdent un Smartphone
Ainsi, les projets retail et/ou digitaux via Smartphone ne doivent pas oublier que ça ne concernera qu’un consommateur sur 2 d’un point de vue « technologique ». Ensuite, d’un point de vue « utilisation » 10% sur les 52% éligibles n’utilisent pas leur Smartphone pour se connecter sur Internet !
Aussi incroyable que ça puisse paraître !
2- Ensuite sur les performances des bannières plublicitaires, le sondage arrive à une forte majorité d’insatisfaits. À la question : « Comment caractériseriez-vous la valeur intrinsèque de ces bannières publicitaires sur Smartphones ? », les réponses sont claires :
- 42% les trouvent « contre-productives »
- 32% les trouvent « complètement inutiles »
- 20% les trouvent « pas très utiles »
On arrive à un « petit » 94% de non-convaincus.
De l’autre côté, 4% les jugent « assez utiles » et 1% « très utiles ». Le dernier pourcent ne se prononce pas.
Ce n’est pas forcément étonnant quand on sait de 89% des consommateurs « cliquent par erreur » sur les bannières publicitaires.
3- Enfin, le pire est peut être la suite. En effet, les bannières publicités ont surtout un effet négatif sur les consommateurs :
- 37% ont une « très mauvaise » image de l’annonceur
- 28% ont une « assez mauvaise » image de l’annonceur
Soit quaisement 2 tiers des consommateurs.
34% sont « neutres » sur l’image de l’annonceur. 1% ont une « plutôt bonne » image de l’annonceur et 0% ont une « très bonne » image de l’annonceur !!!
Vous ne serez pas surpris de découvrir que les sentiments ressentis (« après avoir cliqué par erreur sur une bannière publicitaire en utilisant leur Smartphone ») sont assez violents :
- 40% sont agacés
- 25% exaspérés
- 15% irrités
Soit 80% de sentiments négatifs.
- 15% neutre
- 3% calme
- 1% intéressé
- 1% enthousiaste
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Ainsi, chers retailers avant de vous lancer dans des campagnes publicitaires via Smartphone, prenez en compte ces quelques données chiffrées. Sinon, j’ai une idée ! Vous pouvez innover, surprendre en trouvant de nouveaux axes, de nouvelles méthodes pour mettre en avant vos produits et services. Je pense surtout qu’il faut chercher à intéresser et à donner envie ! N’analyser plus les volumes du trafic mais contrôler sa qualité. L’image de marque, la satisfaction, la fidélisation, le « bouche à oreilles », etc. ne fonctionneront que mieux ! Et votre business aussi. |
aurelien c.
agence square 90 / blog projecteur retail